Ardeur, de Christelle Montjean
Pour me décrire, je dis souvent que j’aime écrire. Et il est vrai que,
depuis ma tendre enfance, je nourris l’ambition d’être écrivaine (ou archéologue). Je m’étais d’ailleurs fixé l’objectif de publier un roman avant l’âge de 16 ans. J’ai depuis eu plus d’occasion d’écrire à propos des livres des autres, parce qu’écrire sur le travail des autres est infiniment plus facile que d’écrire pour les autres en leur livrant un peu de soi.
Avant ma participation à ce concours, je n’ai même jamais eu le courage d’écrire pour moi. J’ai souvent enfermé mes idées dans ma tête, jusqu’à ce qu’elles finissent par s’évanouir. Ce qui leur a manqué pour s’échapper, c’était des occasions.
Le feu représente pour moi la passion dans sa dualité, dans l’amour et la souffrance. C’est d’ailleurs ce qui explique le titre du poème (qui est venu à la fin). L’ardeur, c’est la passion qui chauffe et qui peut brûler.
Le Feu, de Aurore Zandronis
Cela fait quatre ans que j’ai trouvé un cadre à mon expression écrite grâce aux ateliers d’écriture proposés par Mots et Regards avec notamment des consignes d’écriture, des contraintes de temps et des conseils très bénéfiques pour la qualité du travail produit.
Le feu, de Saul-Alexandre Fourmont